Le commerce de gros est un indicateur économique qui mesure la valeur en euros des ventes et des stocks de tous les grossistes marchands. Le commerce de gros est une composante des ventes et des stocks des entreprises. Seules les entreprises qui vendent aux gouvernements, institutions et autres entreprises sont considérées comme faisant partie du commerce de gros.
Pour faire simple, il s’agit d’une pratique commerciale qui se base sur des échanges commerciaux uniquement dans un contexte BtoB (Business to business). Les deux parties de l’échange sont donc exclusivement des entreprises ou des institutions.
A l’inverse, lorsque la prospection commerciale cible une clientèle finale de particuliers, alors la vente est considérée comme du commerce de détail.
Comment fonctionne le commerce de gros ?
Les données du commerce de gros permettent aux investisseurs d’examiner de plus près l’économie de consommation, car les ventes et les stocks peuvent être un indicateur avancé des tendances de consommation. En examinant le rapport entre les ventes et les stocks, les investisseurs peuvent voir si la production peut ou non augmenter ou ralentir à l’avenir.
Pour faire simple, il s’agit d’une pratique et stratégie commerciale qui se base sur des échanges commerciaux uniquement dans un contexte BtoB (Business to business). Les deux parties de l’échange sont donc exclusivement des entreprises ou des institutions.
A l’inverse, une vente réalisée auprès d’une clientèle particulière est considérée comme du commerce de détail.
Les fluctuations du commerce de gros
Par exemple, si les stocks augmentent plus lentement que les ventes, les producteurs devront fabriquer davantage de produits pour éviter les pénuries. Par ailleurs, si la croissance des ventes est plus lente que celle des stocks, il y aura un excédent de l’offre et la production devrait ralentir dans les mois à venir. La fabrication représentant une part importante du produit intérieur brut, les données sur le commerce de gros peuvent être un outil précieux pour suivre l’évolution de l’économie. Les marchés des actions sont positivement affectés par une augmentation de la production, car les bénéfices des entreprises ont tendance à augmenter.
Les marchés obligataires, en revanche, préfèrent une croissance modérée afin d’endiguer l’inflation.
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