Dans le contexte d’une campagne marketing ou d’une action de prospection commerciale, le terme de Social selling peut avoir plusieurs significations en fonction des contextes d’utilisation, mais aussi en fonction des utilisateurs. Si l’objectif général est bien évidemment de vendre en ayant recours aux réseaux ou médias sociaux, les formes d’utilisations regroupées derrière la notion de social selling varient considérablement en fonction du contexte, qu’il soit BtoB ou BtoC.
La notion de vente que l’on associe à l’expression Social Selling est aussi à prendre en compte dans une approche à géométrie variable, car il peut s’agir de vendre directement depuis les comptes sociaux de l’entreprise (Social commerce, F-commerce…), de simplement réaliser une prévente du produit par le biais d’une présence organique ou payée sur les réseaux sociaux, de travailler une image d’expertise, ou encore d’optimiser la recommandation sociale en amont et en aval de l’achat.
De base, l’expression de social selling est utilisée dans le cadre des pratiques que de vente et de prospection effectuées dans un contexte BtoB, et donc plus précisément sur les médias et réseaux sociaux à portée professionnelle ou mixte, comme par exemple LinkedIn ou Twitter.
Lorsque le Social Selling est mis en place dans un contexte BtoB, le terme est potentiellement moins précis, car on peut l’associer à différentes pratiques telle que le social commerce, le community management, l’usage des outils publicitaires sociaux, ou encore les pratiques de marketing d’influence.
De plus, on peut prendre en considération la définition basique du terme : “le social selling c’est l’art et la manière d’exploiter les réseaux sociaux pour développer ses ventes ». Au-delà de la simplicité de cette définition, on comprend aisément que cela peut autant correspondre à un angle général BtoC, qu’à un angle BtoB.