Définition de Plan comptable général

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Le PCG (plan comptable général), est un document comptable. Il s’agit plus précisément d’un livret qui regroupe la totalité des normes de comptabilités qui s’appliquent aux entreprises françaises, basées sur les lois détaillées dans le Code de Commerce. De plus, ce livret permet d’uniformiser les règles de présentation des comptes que les sociétés doivent obligatoirement respecter. Il s’agit donc d’un outil comptable particulièrement important pour une bonne de tenue de la comptabilité d’une entreprise. On peut en trouver dans des librairies ou des sites web spécialisés en comptabilité. A noter que de type de règlement ne concerne pas les indépendants sous le statut d’auto-entrepreneurs, tels que des téléprospecteurs ou commerciaux indépendants par exemple.

Quelles pratiques le PCG définit-il ?

Plus en détail, le plan comptable général formalise la présentation des comptes d’une société, par le respect de plusieurs règles telles que :

  • La définition du bilan, mais également du compte de résultat et des annexes associées ;
  • La transcription des différentes normes comptables liées à leur tenue ;
  • Les modalités de présentations des comptables annuels, ainsi que des documents de synthèse associés ;
  • Le détail de la nomenclature à utiliser pour la tenue de la comptabilité des comptes, notamment en ce qui concerne la tenue du livre journal ainsi que du grand livre de comptes.

Comment est composée la nomenclature du PCG ?

Globalement, la comptabilité d’une entreprises intègres 8 classes différentes afin d’enregistrer la totalité des écritures comptables de la société. On compte notamment :

  • La classe 1, pour les comptes de capitaux ;
  • La classe 2, pour les comptes d’immobilisation ;
  • La classe 3, pour les stocks en cours ;
  • La classe 4, qui concerne les comptes tiers (fournisseurs, institutions fiscales, etc.) ;
  • La classe 5, qui concerne les comptes financiers ;

La classe 6, pour les charges ;

  • La classe 7, pour les produits ;
  • Et la classe 8, qui concerne plus spécifiquement les comptes spéciaux.

Chacune de ces classes se divise en sous-classe afin de détailler au maximum les écritures.