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Concrètement, la gestion des risques est une partie intégrante et relativement importante de l’implémentation de la stratégie d’entreprise. Son but est d’isoler, prévenir, et traiter les différents risques liés aux activités exercées par une entreprise. Ils peuvent provenir de plusieurs sources comme l’organisation, les ressources humaines, etc.
Son but stratégique est d’éviter ou de diminuer les échecs potentiels pouvant mettre en péril la santé de l’entreprise. De ce fait, la gestion des risques se fait en continu, par le biais d’une vigilance permanente, afin de rester mobile et réactif à tout moment.
Pour être clair, dans le cadre d’une entreprise, un risque correspond au danger représenté par une activité, une structure ou un contexte. Il s’agit d’un fait, d’une action, ou d’un événement qui est en mesure de créer des dommages à l’entreprise. De ce fait, l’enjeu principal de la gestion des risques est d’éviter de tels dommages potentiels en mettant en place toute une batterie d’actions préventives pour contrer ce type d’éléments néfastes.
Pour implémenter correctement une stratégie de gestion des risques, les chefs et dirigeants d’entreprises ont recours à de multiples méthodes comme :
Dans le monde financier, la gestion des risques est le processus d’identification, d’analyse et d’acceptation ou d’atténuation de l’incertitude dans les décisions d’investissement. Essentiellement, la gestion des risques se produit lorsqu’un investisseur ou un gestionnaire de fonds analyse et tente de quantifier le potentiel de pertes dans un investissement dans la même logique qu’une étude de marché, et prend ensuite les mesures appropriées (ou l’inaction) compte tenu des objectifs d’investissement et de la tolérance au risque du fonds.
La gestion des risques est donc présente partout dans le domaine de la finance. Une gestion des risques inadéquate peut avoir de graves conséquences pour les entreprises, les particuliers et l’économie. Par exemple, l’effondrement des prêts hypothécaires à risque en 2007, qui a contribué à déclencher la Grande Récession, est dû à de mauvaises décisions en matière de gestion des risques, comme le fait que des prêteurs ont accordé des prêts hypothécaires à des personnes mal solvables, que des entreprises d’investissement ont acheté, conditionné et revendu ces prêts et que des fonds ont investi de manière excessive dans des titres adossés à des créances hypothécaires reconditionnés, mais toujours risqués.
Nous avons tendance à considérer le « risque » en termes essentiellement négatifs. Cependant, dans le monde de l’investissement, le risque est nécessaire et inséparable de la performance souhaitable.
Une définition commune du risque d’investissement est un écart par rapport à un résultat attendu. Nous pouvons exprimer cette déviation en termes absolus ou par rapport à autre chose, comme un indice de référence du marché.
Bien que cet écart puisse être positif ou négatif, les professionnels de l’investissement acceptent généralement l’idée que cet écart implique un certain degré du résultat escompté pour vos investissements. Ainsi, pour obtenir des rendements plus élevés, on s’attend à accepter le plus de risques possible. Il est également généralement admis qu’un risque accru se traduit par une volatilité accrue. Si les professionnels de l’investissement cherchent constamment, et parfois même trouvent, des moyens de réduire cette volatilité, il n’existe pas d’accord clair entre eux sur la meilleure façon de procéder.